Créé en collaboration avec la Fresque de l’eau Eau’Dyssée, notre serious game entreprise « Eau’Rigine » figure parmi nos ateliers les plus demandés.

L’eau, cette ressource essentielle à la vie, que chacun s’accordera à dire qu’il ne faut pas la gaspiller. Pourtant, dans nos sociétés modernes où elle est encore relativement abondante, elle peut encore nous sembler illimitée.

Dans un contexte de réchauffement climatique, pourquoi est-il primordial de comprendre les enjeux liés à la ressource en eau ? Pourquoi sa disponibilité est-elle menacée ? Et pourquoi sommes-nous toutes et tous concernés ?

Notre serious game entreprise « Eau’Rigine » se saisit de ces questions pour faire prendre conscience – grâce à des jeux pédagogiques et collaboratifs – qu’une attention particulière, individuelle et collective, doit être engagée pour sauvegarder ce bien commun à l’origine de la vie, et garantir son accès à toutes et tous.

Nous illustrerons cet article avec le retour client de Marlène Jacquemont, Technicienne Eau Minérale & Environnement chez Badoit.

Pourquoi proposer un serious game sur la thématique de l’eau ?

Notre serious game entreprise sur l’eau s’adapte à différents contextes :

Marlène Jacquemont, Technicienne Eau Minérale & Environnement chez Badoit

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Serious game entreprise sur l’eau : un outil de sensibilisation innovant

Alors qu’il est très utilisé sur les publics enfants, le jeu comme mode d’apprentissage l’est beaucoup moins sur les publics adultes. Pourtant, c’est un puissant levier pour faire passer des messages tout en fédérant autour d’une problématique donnée.

C’est dans cette perspective que Chouette Impact conçoit ses jeux et ateliers thématiques : parler de sujets sérieux en étant acteur d’un jeu, dans l’objectif d’apprendre en passant un bon moment. Parce que oui, il est parfaitement possible de passer un bon moment tout en parlant d’écologie ! Nous le démontrons à chaque animation et incarnons ces valeurs dans notre quotidien au bureau.

Loin d’un déroulé de présentation descendante conventionnel, nos animateurs sont formés pour impulser les échanges et créer des espaces sécurisants. Le droit à l’erreur est autorisé (et même encouragé !) car quoi de mieux que les erreurs pour apprendre ?

Marlène Jacquemont, Technicienne Eau Minérale & Environnement chez Badoit

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Organisation de notre serious game sur l’eau chez Badoit

Le programme de la journée banalisée SQE était chargé : plusieurs ateliers étaient proposés en parallèle aux 120 collaborateurs.

Pour que tous les participants puissent assister à notre atelier sur l’eau, le cadencement suivant a été choisi : 6 sessions de 55 minutes, accueillant chacune 20 personnes :

Session 1 : 9h – 9h55 / session 2 : 10h – 10h55 / session 3 : 11h – 11h55 / session 4 : 12h – 12h55 / session 5 : 14h – 14h 55 / session 6 : 15h – 15h55

Chouette Impact étant basé à Paris et Badoit à Saint-Galmier à côté de Saint-Etienne, l’animatrice était arrivée sur place la veille pour assurer les ateliers dès 9h.

Serious game sur l’eau : public cible et déroulé

Notre serious game sur l’eau convient à une grande palette de publics : les adultes, les étudiants et même les enfants moyennant quelques aménagements. Il a été éprouvé auprès d’opérateurs en usines, de cadres de la fonction publique et du secteur privé, de membres de CODIR, d’étudiants en école de commerce, etc. Vous pouvez retrouver à ce sujet tous nos retours clients sur l’atelier sur l’eau.

Il est particulièrement apprécié pour sa durée (1 heure 30 en moyenne), son rythme et sa didactique : les messages sont clairs et percutants.

L’un des commentaires récurrents des participants est que si ce serious game sur l’eau permet « de revoir les bases », il permet aussi de découvrir de nouvelles choses (suite à notre intervention chez Badoit, 93% des répondants déclaraient avoir appris de nouvelles choses).

Comment s’articule le serious game entreprise sur l’eau ?

Après une brève introduction, l’animation commence par une question et l’animateur invite les participants à donner les réponses façon pop-corn : cela donne le ton de l’atelier.

  • S’en suit le tout 1er jeu sur les grands réservoirs d’eau sur Terre :

Réparties en sous-groupes de 5 personnes, les équipes se voient distribuer 6 cartes matérialisant 100% de l’eau sur Terre : océan, nappe phréatique, permafrost, glacier et calotte glaciaire, fleuve et lac. Le but du jeu est de reclasser ces cartes du plus important au plus petit volume d’eau présent sur Terre.

Les joueurs doivent échanger pour se mettre d’accord et l’animateur s’assure que tous les termes soient compris, en sollicitant toujours les participants. Puis, de nouvelles questions en entonnoir sont posées pour les amener à comprendre que l’eau douce disponible ne représente qu’une infime partie de l’eau à l’échelle du globe.

  • Ensuite, une nouvelle question est posée permettant d’introduire la notion de stress hydrique. Il est bientôt l’heure de passer au 2ème jeu qui traite de l’impact du réchauffement climatique sur le cycle de l’eau :

Dans un premier temps, ce 2ème jeu consiste à faire travailler le groupe à la reconstitution du cycle de l’eau grâce à des cartes et des étiquettes. Là encore, une attention particulière est donnée à la compréhension des termes.

Quand cette 1ère étape est terminée, c’est la phase de réflexion qui commence : chaque réservoir d’eau et chaque phénomène identifié doit se voir attribuer un « + » ou un « – » par les participants, selon qu’ils pensent que le changement climatique entraînera plus ou moins d’eau sur les différents points d’intérêt.

Quand ce jeu est terminé, on effectue une prise de hauteur en regardant l’état du stress hydrique à l’échelle mondiale, avant de zoomer sur la France – cela ancre vraiment la problématique du stress hydrique sur nos territoires.

  • On entre alors dans l’avant-dernière phase du serious game, qui insiste sur le fait que nous n’avons rien sans eau et qu’il est fondamental de la préserver, c’est le jeu de l’empreinte eau :

Au même titre que tous les produits fabriqués possèdent une empreinte carbone, ils possèdent une empreinte eau. Le groupe se voit donc attribuer 14 cartes représentant des objets du quotidien (verre de vin, papier toilette, oeuf, t-shirt etc.) et 14 étiquettes « litres ». Le but du jeu est de reconstituer les bonnes paires « objet <=> nombre de litres ». Ce jeu est particulièrement apprécié car très concret et marquant.

  • Enfin, on arrive à la dernière phase du serious game : les actions !

Une fois que les participants ont compris que l’eau douce disponible est une denrée rare à l’échelle du globe, que sa répartition et son accessibilité sont menacées par le changement climatique, et qu’il y a de l’eau virtuelle jusqu’aux plus banals de nos objets du quotidien, l’animateur les invite à réfléchir à des actions concrètes pour baisser individuellement et collectivement notre pression sur cette ressource.

Les échanges ont lieu en petits groupes et les idées sont partagées à tous les participants en fin d’atelier.

Cette étape « actions » est très importante car elle s’inscrit dans ce que nous appelons « les nouveaux récits ». En partageant leurs idées et leurs bonnes pratiques, les participants s’influencent positivement pour mettre en place de nouvelles habitudes.

Marlène Jacquemont, Technicienne Eau Minérale & Environnement chez Badoit

Par ailleurs, nous pouvons adapter le contenu et les messages clés de la partie actions selon les besoins de nos clients. En effet, cette dernière phase du serious game peut par exemple porter sur la réflexion autour de pratiques à mettre en place au sein de l’entreprise. C’est aussi le moment de rappeler les engagements et objectifs de l’entreprise quant à la préservation de la ressource en eau.

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Les engagements pris par les salariés Badoit suite à leur participation à notre serious game sur l’eau

Le questionnaire de satisfaction envoyé par notre cliente à ses collaborateurs a obtenu d’excellents retours et à la question « Que vous engagez-vous à mettre en pratique prochainement ? » les réponses obtenues étaient très encourageantes :

  1. « Sensibiliser mes proches. »
  2. « Finaliser ma réflexion sur la réutilisation de l’eau. »
  3. « Surveiller ma consommation d’eau. »
  4. « Economiser l’eau par mes choix alimentaires. »
  5. « Renforcer mes efforts personnels de réduction de l’usage de l’eau, y compris l’eau cachée dans l’achat de produits et services. »
  6. « Faire des économies et mieux gérer l’eau. »

Vous souhaitez engager vos collaborateurs dans la transition écologique avec des formats dynamiques et participatifs ? Consultez l’ensemble de nos activités team building.

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